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Test: BMW Série 1 – The first one

Ne vous y trompez pas: derrière ses airs de facelift, la BMW Série 1 est une voiture entièrement nouvelle! Un modèle que BMW espère bien voir surfer sur la vague de sa devancière qui est parvenue à attirer plus de 70% de nouveaux clients pour la marque.

La compacte munichoise se doit donc de plaire à tout le monde, et pour ce faire, elle adopte deux visages distincts suivant que l’acheteur opte pour la ligne Urban ou la ligne Sport. La première fait la part belle à l’élégance, quand la seconde se fait plus agressive. Deux orientations qui se traduisent à l’avant par des boucliers distincts, et qui possèdent chacune leur propre catalogue d’options et de personnalisations. En effet, a la manière d’une Mini, la Série 1 peut désormais se plier aux goûts de chacun grâce à un large éventail d’accessoires allant des jantes et rétroviseurs blancs aux cuirs à surpiqûres colorées en passant par des inserts inédits dans l’habitacle. Au total, pas moins de 6.500 combinaisons seraient possibles si l’on en croit BMW!

Elle a bien grandi

Plus longue de 85 millimètres (4.324mm) et plus large de 17 (1.765) que sa devancière, la nouvelle Série 1 accroit du même coup l’espace dédié aux passagers, notamment à l’arrière où les longs trajets sont désormais envisageables pour deux adultes, même de grande taille.

Dans le même temps, le coffre progresse, lui, de 30 litres, pour désormais en revendiquer 360 derrière la banquette (1.200 une fois celle-ci rabattue). L’ambiance à bord est typiquement BMW et la finition ne souffre pas la critique. Certains plastiques durs auraient, en revanche, mérités d’être plus soignés.

En digne BMW, la Série 1 est bardée d’équipements technologiques dernier cri, en option pour la plupart, cela va de soi. Ainsi, suivant l’épaisseur du porte-monnaie, il sera possible d’opter pour le BMW ConnectedDrive, comprenant l’affichage des limitations de vitesse, l’assistant de feux de routes, le régulateur de vitesse intelligent avec frein d’urgence automatique, l’alerte de changement de file, l’assistant au créneau, ou une foule d’applications plus ou moins utiles liées à la connectivité embarquée et à la navigation.

Athlète épargnant

Essayée en 118i (170 chevaux) et 120d (184ch), la nouvelle Série 1 ne recèle aucune surprise sur route et reste l’une des compactes les plus dynamiques et les plus plaisantes à conduire, ne serait-ce que parce qu’elle reste fidèle à la propulsion. Et si l’amortissement est plutôt ferme avec les suspensions classiques, les amortisseurs pilotés se chargent de régler le problème.

Ces deux motorisations et les autres présentes au lancement en septembre (116i de 136ch; 118d de 143ch et 116d de 116ch) affichent toutes des consommations impressionnantes, comprises entre 4,3 et 5,9l/100km, grâce au mode EcoPro favorisant une conduite économique et à la boîte automatique optionnelle, désormais riche de 8 rapports (ce qui commence à faire beaucoup en contrôle manuel).

Et bonne nouvelle, le prix ne sera plus un facteur déterminant du choix de l’un ou l’autre carburant puisque BMW propose ses 116i et 116d au même tarif: 24.400 euros, en version de base évidemment.

Prêt pour la prochaine étape

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